Sheila au Zénith : Enfin sur Scène !
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22, 23, 24, 25, 26, 27 et 28 FÉVRIER 1985
01, 02 et 03 MARS 1985
08, 09 et 10 MARS 1985
15, 16 et 17 MARS 1985
LES SPECTACLES CAMUS-COULLIER PRÉSENTENT :
SHEILA AU ZÉNITH
« ENFIN SUR SCÈNE ! »
Le spectacle est dédié à Didi BONNECARRERE, collaboratrice de l’attaché de presse Gill PAQUET.
PREMIÈRE PARTIE
L’ouverture commence dans l’obscurité totale avec un cercle de lumière blanche sur le rideau noir, imprimé d’un piano dessiné. Une introduction musicale au piano démarre et SHEILA apparaît par miracle en interprétant « Vivre mieux », dans un trench en taffetas de soie noir devant son vrai public. Des nouveaux arrangements apportent une émotion supplémentaire à cette chanson, avec notamment un roulement de tambour au moment des refrains. Les musiciens jouent en restant derrière le décor. De nouveau le noir total, 3 notes de piano jouées et reproduites également sur le piano dessiné provoquent un coup de pétard laissant exploser le rideau qui dégringole aussitôt. Les lumières se rallument pour laisser place aux musiciens jouant l’introduction de « Je suis comme toi », avec les choristes. Les décors sont gigantesques avec 8 tours translucides de 10 mètres de haut à 2 étages, qui restent en permanence pendant la durée du spectacle. Elle s’éclate à fond et de façon rock’n'roll sur cette scène de 27 mètres d’ouverture, habillée d’une tenue très moulante avec un spencer rouge brillant du style toréador et collant noir. Des cuivres se rajoutent, lors des refrains. La chanteuse s’adresse au public et lui fait part du bonheur d’être enfin sur scène en espérant, qu’il passera une excellente soirée. Les danseurs arrivent pour la chanson suivante « Vis vas ». SHEILA exécute la chorégraphie en leur compagnie, dans une ambiance moitié disco et moitié salsa. Elle poursuit avec « La tendresse d’un homme », la seule adaptation reprise de la dernière période « Carrère » des années 80, accompagnée d’une section de cuivres avec saxophone, trompette et trombone. Pendant ce titre, la danseuse Jamie COSTA déguisée en robot au cœur clignotant, traverse la scène.
Assise sur un vieux poste de télévision, la chanteuse annonce « La vérité qu’on nous ment » qui ne prendra jamais une seule ride car elle reste toujours d’actualité. Vers la fin, toute la salle reprend en chœur à cappella, le refrain en sa compagnie. SHEILA se débarrasse du spencer rouge brillant et des cris de la jungle commencent à envahir la scène. Une longue introduction africaine démarre et les danseurs habillés en Massais, déboulent en s’agitant d’une façon traditionnelle sur « Guerrier Massai ». Elle y entonne le fameux « Break up blues », sur un air afro-funk avec des arrangements très exotiques. Les charmantes choristes s’avancent pour l’accompagner dans une petite mise en scène amusante, style music-hall sur « La chanteuse ». SHEILA enchaîne « Tangue au », alors que les danseurs arrivent autour d’elle pour un nouveau ballet très tango et moderne, à la fois. Elle reçoit une ovation, au moment de l’introduction du titre suivant « Film à l’envers » car il est très apprécié des fans. Vers la fin de la chanson, l’artiste disparaît au fond de la scène en montant l’escalier intérieur de l’une des grandes tours du décor, vers la droite. Il s’agit d’une petite mise en scène, car c’est une danseuse qui prend sa place. Pendant ce temps, SHEILA court derrière le décor pour apparaître à gauche de la scène à la fin de son titre. Pour la fin de cette première partie, elle propose un grand medley en hommage au public de plus d’un quart d’heure ! Au lieu de le rendre nostalgique, la chanteuse l’évoque au second degré avec beaucoup d’humour en compagnie des danseurs déguisés en « Sheila d’Époque », sur pratiquement chaque chanson : « Écoute ce disque », « L’heure de la sortie », avec l’apparition d’une danseuse dans la tenue portée pour le film « Bang-Bang ». « Vous les copains je ne vous oublierai jamais », « Première surprise partie » une danseuse arrive avec le chemisier blanc, la jupe écossaise de l’époque et les couettes, « Pendant les vacances », « C’est toi que j’aime », « Le cinéma » une danseuse débarque habillée de la robe vahiné d’époque, « Ne fais pas tanguer le bateau » une danseuse défile avec la longue robe noire de la période « Loris Azzaro », puis « Reviens je t’aime », « Adios amor », « Les gondoles à Venise » le danseur Grégory Brock apparaît sur la scène en « Ringo » dans sa célèbre combinaison mythique de velours vert à clous, « Le folklore américain » avec une danseuse qui déboule en chemisier, jupe à franges, bottes de cow-boy et chapeau d’époque, « Petite fille de français moyen », « La famille » et « Les rois mages ». Ainsi se termine la première partie du grand spectacle SHEILA qui après l’entracte, réservera d’autres surprises. Avant de la clôturer, elle devait présenter un ballet sur une musique de la publicité ADIDAS, réalisée par Yves MARTIN. Malheureusement le jour de la répétition générale, des techniciens réparèrent en urgence sur la scène certains éléments indispensables pour le décor. Ainsi, la chanteuse n’a jamais pu le répéter correctement et préféra l’annuler.
DEUXIÈME PARTIE
L’entracte terminée, une longue introduction bruyante démarre et aux premières notes du piano on reconnaît « Spacer ». L’orchestre se déplace en s’ouvrant sur un praticable spécialement conçu sur la scène en 2 parties, avec au même moment les danseurs qui arrivent par le sol. Pendant ce temps en haut de la scène, le public aperçoit l’arrivée spectaculaire de la structure métallique du vaisseau spatial au milieu d’un nuage de fumé. Lors de la mise en scène, SHEILA devait se positionner à l’extérieur du Zénith. L’appareil descend lentement durant toute l’introduction avec la chanteuse à bord, habillée d’un perfecto de lanières et d’un pantalon noir argenté. Une fois sur scène, elle exécute le ballet et interprète son hit interplanétaire dans une version beaucoup plus rock, comprenant de la guitare électrique plus appuyée et des cuivres.
La chanteuse rend hommage à son idole de jeunesse Johnny Hallyday, en empruntant l’un de ses titres…
1 : MON P’TIT LOUP, ÇA VA FAIRE MAL CE SOIR…
Titre Original : « Betty lou’s getting out tonight » de Bob Seger en 1983
Adaptation : Pierre Billon et Jean-Philippe Smet « Johnny Hallyday »
Éditions Warner Chappell S.A.
Reprise Française : Johnny Hallyday (1984)
SHEILA se donne à fond sur ce rock endiablé avec une fougue incroyable et de complicité, en compagnie des musiciens. A noter qu’elle est une grande fan du chanteur depuis toujours. Le fait d’être produite par Jean-Claude Camus, qui s’occupe également du rockeur donne l’avantage d’avoir une bonne partie de son équipe technique, pour ce spectacle. La chanteuse en sera la plus heureuse et émue.
La chanteuse enlève le perfecto et passe de nouveau dans une ambiance très sixties, avec un clin d’œil de la période yé-yé pour « L’école est finie » pratiquement dans sa version originale. Ensuite, c’est au tour de « Bang-Bang » où l’on aperçoit en toile de fond, une verrière qui s’illumine et dégage une vue sur les toits de Paris.
SHEILA enfile une tunique et s’assoit sur un tabouret en interprétant « L’écuyère », en compagnie des danseurs immobiles en forme de fer à cheval. Seule Jamie COSTA déguisée en clown, joue une mise en scène de complicité avec le public. Il semblerait qu’une boule à facette descendrait avec une danseuse assise dessus, lors des trois premières représentations (à confirmer).
Vêtue d’un imperméable violet, elle continue avec « Emmenez-moi » l’un de ses plus beaux titres. La chanteuse se débarrasse de l’imperméable. Le tonnerre gronde dans la salle, grâce à la technique des machinistes et des ingénieurs du son. Au moment du bruit la pluie, un aquarium géant de 5 tonnes traverse la scène en y recouvrant une bonne partie. A l’intérieur, le décor du film « Chantons sous la pluie » est même représenté sous un rideau de pluie avec une danseuse à l’intérieur en tant que « doublure » exécutant la chorégraphie de Gene KELLY. Les spectateurs penseront qu’il s’agit de SHEILA, alors qu’elle entonne la chanson, dos au public, vêtue de la veste portée dans « L’écuyère » mais retournée à l’envers. La chanteuse interprète les premières notes de « Singin’in the rain » dans la version classique de l’époque, habillée de la même façon que la danseuse. Ce qui laisse imaginer un double effet en se demandant si c’est la danseuse ou la personne de dos qui chante. Au bout de 2 minutes, SHEILA se tourne vers le public en faisant également la chorégraphie en même temps que la danseuse. Les fans se massent au pied de la scène et découvre leur chanteuse, dans une robe de cocktail blanche assez longue avec talons aiguilles. Elle y « joue » un morceau de guitare basse, composé par Yves MARTIN.
La chanteuse enchaîne avec « Jumbo loo », dans une éclate totale. SHEILA se donne à fond sur « America » qui sonne beaucoup plus rock avec des cuivres rajoutés, pendant que le public continue de danser devant la scène dans une ambiance de délire.
Pour terminer cette deuxième partie, elle offre une version musclée de « Love me baby » avec une chorégraphie de danseurs autour de la chanteuse.
RAPPELS
SHEILA salue et revient plusieurs fois avant d’entonner les rappels avec « Je suis comme toi » et « L’école est finie », vêtue d’un juste au corps en velours de soie noir et d’une longue jupe en lamé très brillante. Ces 2 titres résument parfaitement le passé et le présent. Le public crie : « Elle a gagné, elle a gagné » !
COULISSES
ANECDOTES
Une anecdote émouvante est arrivée, lors de la première : La danseuse Jamie COSTA lui annonce qu’elle attend un enfant. Émue, la chanteuse l’embrasse et lui proposera des costumes adaptés à son état. Le guitariste Jean SOULLIER sert d’intermédiaire pour Didier VITCOQ, engagé au niveau de la « poursuite ». Il sera chanteur de groupe Simon et les MODANAIS « Étoile des neiges » en 1987.
25 FÉVRIER 1985
Dîner avec Yves MARTIN au Restaurant CHEZ NATACHA ; Présence : le costumier Miche BOURRANT, la chroniqueuse mondaine Zaza DIORS,, le photographe Hugues LAGARDE et de la vicomte Michel VANRENGOT VON HORN, etc.
17 MARS 1985
Lors de la dernière, les musiciens, les danseurs, les producteurs, l’équipe technique et les amis proches lui font des surprises sous forme de gags. Dès le premier couplet de « Vivre mieux », le batteur Christophe DESCHAMPS accélère le rythme de la batterie. Une personne de l’équipe remplace la danseuse Jamie COSTA, pour arriver en robot sur « La tendresse d’un homme ». Un énorme monstre arrive sur scène au moment de « Guerrier Massai » d’après le déguisement de Jamie COSTA, qui continue de rester pour le titre « La chanteuse ». Elle imite avec beaucoup d’humour, la mise en scène des choristes Guida DE PALMA, Diane DUPUYS et Aliss TERRELL Pour le medley, Yves MARTIN s’habille dans la tenue de « L’heure de la sortie ». Le maquilleur Cochise OCHOA vêtue en robe vahiné pour « Le cinéma » et Alexandre MARCELLIN (RADIO 95.2 FM) débarque sur « Les rois mages », déguisé en émirat arabe avec une bonne partie des danseurs, etc. Au début de « Spacer », la chanteuse se trouve dans la structure métallique du vaisseau spatial, qui descend très lentement. L’écrivain Jean TEULÉ en rockeur, traverse la scène dans « Mon p’tit loup ça va faire mal ce soir ». L’attachée de presse Annie MARKHAN s’amuse à chanter le refrain de « L’école est finie » avec SHEILA. A la fin d’ « Emmenez-moi », 2 personnes passent en transportant quelqu’un allongé sur une civière. Le guitariste Jean SOULLIER tombe accidentellement dans « Jumbo-loo » et s’éclate sur « América » en jouant de la guitare sur le dos. Jamie COSTA et Jean SOULLIER improvisent une chorégraphie, sur « Love me baby ». Les rappels se prolongent exceptionnellement avec « Je suis comme toi » et « L’école est finie ». Elle enchaîne avec « Mon p’tit loup ça va faire mal ce soir », et termine sur « Vivre mieux ».
On peut remarquer dans le programme une page concernant la liste des chansons interprétées pour ce spectacle. Parmi celles-ci, la chanteuse n’interprétera pas « Sunshine weekend » datant de 1979, ni « Aimer encore » qui doit être certainement inédite.
Photos du Spectacle : Pierre ANDRIEU, Patrick CARPENTIER, Bernard MOUILLON, Jacques LANGE, Patrice PICOT, Michel ROUGÉ et Gérard SCHACHMÈS.
Invitations : Nathalie BAYE, Jean-Claude BRIALY, Patrick BRUEL, Nicole CALFAN, Pierre CARDIN, Claude CARRERE, Jacqueline CARTIER, Henri CHAPIER, Philippe CHATEL, Karen CHERYL, COLUCHE, la COMPAGNIE CRÉOLE, Annie CORDY, DALIDA, Patrick D’AMICO « SANTIANA » (RADIO N.R.J), Michel DENISOT, Zaza DIORS, Sacha DISTEL, Alice DONA, DOUCHKA, Michel DRUCKER, Albert EMSALLEM, Ginni GALLAND, Jesse GARON, Jean GUIDONI, Françoise HARDY, Serge LAMA, Patti LAYNE, Gérard LENORMAN, Herbert LÉONARD, Mimie MATHY, Cécil MAURY, MICHOU, Chantal NOBEL, Philippe NOIRET, Umberto PETRUCCI « Humbert IBACH », Nicolas PEYRAC, Julie PIETRI « JULIE », Line RENAUD, France ROCHE, Dany SAVAL, Pascal SEVRAN, William SHELLER, Jean-Patrick TEYSSERE, François VALÉRY, Hervé VILARD, etc.
Arrangements Musicaux : Yves MARTIN et Olivier MASSELOT
Chef d’Orchestre : Olivier MASSELOT
Sonorisation Salle : Andy LYDEN
Assistant : Gérard TREVIGNON
Sonorisation Plateau : Étienne FISCHER
Assistant : Patrick DESJARDIN
Photos du Programme : Bettina RHEIMS
Photogravure : COLOR 7
Conception du Programme : Georges AUGIER
Imprimerie et Réalisation : RÉGIE INTERNATIONALE DE PROMOTION ET DE PUBLICITÉ
Produit par Jean-Claude CAMUS, pour les SPECTACLES CAMUS-COULLIER
Musiciens : Jacques BESSOT « Kako BESSOT » (Trompette), Patrick BOURGOIN (Saxophone), Tony BRENES (Trompette), Christophe DESCHAMPS (Batterie), André MANOUKIAN (Claviers), Olivier MASSELOT (Claviers), Thomas MURRAY « BLAST » (Guitares), Alex PERDIGON (Trombone), Vincent PERROT (Basse), Jean SOULLIER « BOBBY » (Guitares) et Bernard WANTIER « MINET » (Batterie et Percussions).
Chœurs : Guida DE PALMA, Diane DUPUYS, Aliss TERRELL et Yves MARTIN
Mise en Scène : Yves MARTIN et Pierre FUGER
Chorégraphie : Pierre FUGER
Assistante Chorégraphie : Jamie COSTA
Danseurs : Ania BARRE, Grégory BROCK, Jamie COSTA, Véronica NEWTH, Catherine STEINER, Kalle SIVA et Pascal VEDRINE
Régie : Daniel LARUE (RÉGISPECTACLES)
Lumières : Jacques ROUVEYROLLIS
Assistant : Rock SEGOVIA
Poursuite : Didier BRUN, Patrick REYS, Fabienne SAVEL et Didier VITCOQ
Décors : RÉGISPECTACLES (Alain DERLON et Daniel LARUE)
Conseillers Artistiques : Francis ROBIN et François COMTET (ROBIN & COMTET)
Techniciens : Daniel PAJON et Jacques VISE (Scène), Laurent DALAGI, Patrick DIGNOCOURT, Isabelle GERMOND, Jean-Pierre MALICHAUD, Gérard MONTIER et Nasser OULBOUDZID (Machinistes)
Effets Spéciaux : Pierre LESPAGNOL et MAISION BEAUPACHER (Anciennement BELEFFET)
Costumes : Jean-Paul GAUTLIER (SHEILA)
Costumes : Adrienne DUBESSAY et Catherine JAHAN
Maquillage : Cochise OCHOA
Coiffure : DAVID (Jacques DESSANGE)
Chaussures : CREEKS, COMPLEXE EUROPÉEN DE LA CHAUSSURE et Stéphane KELIAN pour Jean-Paul GAUTLIER
Collants de Danse : REPETTO
Pantalons : C.I.P, Éts Michel COLIN et Pierre KLIMO
Bijoux : Yves GENSOLLEN (Jean-Paul GAULTIER)
Administration : Charles THOUZET
Attachés de Presse : Annie MARKHAN pour CARRERE DISTRIBUTION (Promotion), Gill PAQUET pour SPECTACLES CAMUS-COULLIER (Publicité, Relations Presse et Représentant Exclusif pour la scène)
Assistante : Catherine BATTNER (SPECTACLES CAMUS-COULLIER)
Contacts : Jean-Pierre MARTIN et Marie THOMASSIN & FAN CLUB SHEILA (NEW ERA) B.P. 313, 75365 Paris Cedex 08
Label de Production : NEW ERA 83 (Disques) et SPECTACLES CAMUS-COULLIER (Scène)
Label de Distribution : CARRERE DISTRIBUTION
Label d’Éditions : ÉDITIONS NEW CHANCE S.A.R.L et ÉDITIONS ROBERT SALVET
Sponsors : 95.2 FM, EUROPE 1 ; Jacques DESSANGE INTERNATIONAL ; Laurent MERCADAL BOTTIER ; Peter STUYVESANT ; RÉGISPECTACLES (Alain DERLON et Daniel LARUE) ; Jean Michel RETROU et les Champagnes PIPER HEIDSIECK ; avec les compliments de VICTOIRE, VOYAGES 17 (L’AGENCE DES VEDETTES)
A Jean-Claude CAMUS : Tu sais, lorsque je t’ai rencontré, j’ai été frappée par ton enthousiasme. Tu aimes la création, tu aimes le spectacle, mais par dessus tout, tu aimes les artistes. Tu es quelqu’un de rare, de très cher à mon cœur, et je suis fière d’avoir attendu tout ce temps, pour faire enfin mon spectacle avec toi… SHEILA
A Jean-Paul GAULTIER : L’habit quoiqu’on en pense, fera toujours le moine… Et par qui d’autre aurais-je donc pu être habillée ? Tu as le talent, l’humour, l’invention. De notre rencontre est née une grande amitié, et nous savons tous deux, qu’en commun nous avons le goût de l’aventure. Merci Jean-Paul… SHEILA
A Yves MARTIN : Il était une fois, le 15 février 56 à Paris, un petit garçon qui venait de naître. Il grandit comme tout le monde, et en 1982, après quelques déboires avec un grand « chagrin d’amour », et même si, il avait fait c’qui lui plaisait, il partit à L.A. pour rencontrer le « Détective » de Presgurvic. Mais sur cette côte ouest, il fit d’autres rencontres et me fit ainsi chanter en 83, quelques « On dit »… En 83 encore, « on avance » avec Souchon. Il compose, il arrange, il produit, il écrit même de temps les paroles. Enfin en 84, il fait son « Alboum » à lui, et depuis je sais, j’ai beaucoup de chance, c’est de moi qu’il s’occupe… SHEILA
Cette feuille de papier ne serait pas assez grande, pour vous dire à chacun et à tous, combien vous m’avez aidée. Mes désirs cachés sont devenus grâce à vous, une réalité de rêve. Tous ensemble aujourd’hui, nous sommes là et moi toute seule, il fallait que je vous dise Merci… SHEILA
ENREGISTREMENT PUBLIC ZÉNITH 85 :
SHEILA AU ZÉNITH
Enregistrement : FLEETWOOD MOBIL STUDIO-LONDON ENGLAND au ZÉNITH à PARIS 19è.
Ingénieur du Son : Andy LYDEN
Mixage : STUDIO LE MIRAVAL « Jacques LOUSSIER » à LE VAL (83)
Ingénieur du Son : Yves MARTIN
Gravure Digitale : Jean-Pierre BOUSQUET (TRANSLAB)
Photos : Bernard MOUILLON
Produit par Yves MARTIN, pour NEW ERA 83
Distribution France : CARRERE DISTRIBUTION
Il n’existera pas d’enregistrement vidéo en cassette pour le commerce. L’AGENCE SYGMA filme à titre privé (une bande vidéo V.H.S inexploitable), la dernière représentation (17.03.85).
TÉLÉVISIONS & RADIOS
STUDIO SPORT (Par Jean-Loup LAFONT) EUROPE 1 (Diffusion : 22.02.85) L’intégralité du spectacle.
JOURNAL TÉLÉVISÉ NUIT (Par Jean-Claude BOURRET) T.F.1 (Diffusion : 22.02.85) Extrait : « Vivre mieux ». Reportage : « Elle a fait un tabac, qui doit lui faire regretter de n’a pas avoir monté sur scène plus tôt ».
SOIR 3 DERNIÈRE (F.R.3) Diffusion : 22.02.85 (Interview).
LE 13H (Par Yves MOUROUSI et Marie-Laure AUGRY) T.F.1 (Diffusion : 23.02.85) Reportage.
CHAMPS-ÉLYSÉES (Par Michel DRUCKER) ANTENNE 2 (Diffusion : 23.02.85) Extrait : « Guerrier Massai » (Répétitions).
ENTREZ LES ARTISTES (Par Jacques MARTIN) ANTENNE 2 (Diffusion : 24.02.85) Extraits de « Je suis comme toi », « Guerrier Massai », « La tendresse d’un homme », « Spacer » et « Singin’in the rain » (Répétitions).
TÉLÉ MATIN (Par William LEMERGIE) ANTENNE 2 (Diffusion : 26.02.85) Extraits : « Medley » avec « Pendant les vacances » et « C’est toi que j’aime ».
ANTENNE 2 MIDI 13H (Par Daniel BILALIAN et France ROCHE) ANTENNE 2 (Diffusion : 26.02.85) Reportage.
TOUS EN SCÈNE (Par Patrick POIVRE D’ARVOR) CANAL PLUS (Diffusion : 26.02.85) Extraits : « Spacer », « Mon p’tit loup », « Singin’in the rain » et « Love me baby ».
SEPT SUR SEPT (Par Anne SINCLAIR) T.F.1 (Diffusion : 03.03.85) Reportage.
LE JEU DE LA VÉRITÉ : Bernard TAPIE (Par Patrick SABATIER) T.F.1 (Diffusion : 08.03.85) Prestation : « Je suis comme toi » au Zénith.
ZÉNITH (Par Michel DENISOT) CANAL PLUS (Diffusion : 18.03.85) Interview (Extraits : « Film à l’envers », « Guerrier Massai », « Jumbo loo », « La vérité qu’on nous ment », « Spacer », « Les rois mages » et « Mon p’tit loup ») au Zénith. L’animateur inaugure cette nouvelle émission après avoir vu le spectacle de la chanteuse avec le même décor qu’au ZÉNITH, avec la présence de Gérard DEPARDIEU.
ANTENNES D’OR (ANTENNE 2) Diffusion : 30.03.85 (Interview) dans la loge avant le spectacle.
PUBLIC : LE SPECTACLE DU MOIS (T.F.1) Diffusion : 04.04.85 (Reportage).
PRESSE
7 JOURS MADAME L’émouvant baiser de la victoire pour Sheila… celui de son fils Ludovic par Dominique LOZACH
A.F.P (Agence France Presse) Sheila ne pose aucun voile pudique, sur son passé par Didier SALTRON
CHANSON MAGAZINE Le Zénith.
CONFIDENCES Sheila, elle a cloué le bec à ses détracteurs.
COOL MAGAZINE Sheila, l’école est bien finie !
FRANCE SOIR La Johnny en jupon, Sheila ne brûle pas les planches, elle éclate et casse la baraque par Jacqueline CARTIER
FRANCE SOIR Sheila a gagné, le punch et le charme, elle a mis le Zénith en état de choc par Monique PREVOT
FRANCE SOIR MAGAZINE Sheila, le bonheur en chantant.
GAY PIED HEBDO Première de Sheila, Bang-Bang au Zénith ! par Pablo ROUY et photos de Philippe JOUREAU
GAY PIED HEBDO My Taylor is Gaultier par Patrick CABASSET
GIRLS Bravo Sheila !
ICI PARIS Sheila, assez de mensonges ! La revanche de Sheila, un éclatant succès populaire au Zénith par Dominique Lozach et photos de Robert BOUCHARD
JOURS DE FRANCE Sheila triomphe au Zénith par Christine GAUTHEY et photos de Gérard SCHACHMES
LA MEUSE Malgré les ennuis de sono, un triomphe pour Sheila au « Zénith ».
L’EXPRESS Chacun pour soi par Philippe MEYER
LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ Sheila, l’école est bien finie !
LE FIGARO La métamorphose étonnante de Sheila par Jean-Luc WATCHAUSEN
LE JOURNAL DU DIMANCHE Sheila, le pari est gagné.
LE MATIN DE PARIS Pari largement gagné par Florence RAILLARD
LE MATIN DE PARIS Sheila à pleins tubes… divine surprise, la petite fille de français moyen trône sur le Zénith par Florence RAILLARD et photo de Gérard SCHACHMES
LE MIROIR DE PARIS Sheila, 2 K.O pour la première surprise partie.
LE MONDE par Claude FLEOUTER
LE PARISIEN LIBÉRÉ Façon Johnny, Sheila a mis le Zénith K.O, cette fois-ci l’école est finie par Alain MOREL
LE QUOTIDIEN DE PARIS Sheila, à revers… difficile de porter un regard critique sur ce spectacle, qui est un événement en soi par Aurélien FERENCZI
LE SOIR ILLUSTRÉ Sheila, elle a gagné ! Si je fais le Zénith, c’est pour mon fils ! par Michel MARTEAU et photos de Claude CHAMPINEAU
L’HUMANITÉ Sheila, changement à vue, au Zénith, le nouveau départ de l’ex « petite fiancée » par Philippe MEUNIER
L’HUMANITÉ DIMANCHE Sheila au Zénith, la fin d’un malentendu, vedette populaire naturelle, sans calcul, ni artifice par Gérard RAFFORT
LYON MATIN Sheila au Zénith, l’école est bien finie.
MINUTE Sheila au Zénith, une star est née.
NUMÉROS 1 MAGAZINE Sheila, histoire d’un spectacle par Didier Varrod et photos de Bernard MOUILLON
OK-MAGAZINE C’était sa première apparition sur scène depuis ses débuts, le triomphe de Sheila au Zénith.
PARIS MATCH Sheila, cette femme de 40 ans c’est vraiment moi ! par Irène Frain et photos de Jacques LANGE
PARIS MATCH Nathalie Baye congratule Sheila au Zénith.
PODIUM-HIT Les larmes de Sheila, à la dernière du Zénith.
SUPER TÉLÉ Sheila à son Zénith, jolie grande Sheila par Jean MELEDO
TÉLÉ MOUSTIQUE Sheila toute en scène par Sébastien MINISTRU
TV JOUR Sheila fait taire les méchantes langues ; 20 Ans dans le Zénith de Sheila par Martin PELTIER et photos d’A.F.P (AGENCE FRANCE PRESSE)
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Ambiance de fête pour un résumé de 20 ans de carrière ; Sa première, ça déménage ! ; Victoire d’une chanteuse enfin libérée ; etc.
Les journalistes présentent ce spectacle comme un événement médiatique de premier ordre, avec des critiques positives par toute la presse confondue : Elle devient enfin une vraie chanteuse de scène et se révèle une artiste complète qui chante, danse, joue la comédie dans un show représentant sa carrière avec son passé, son présent, son futur en compagnie d’un public étonné et ravi.
Le spectacle vient de durer 3 semaines au lieu des 4 prévues. La chanteuse se transforma en chanteuse de weekend pour les 2 derniers avec des représentations en soirée, les vendredis et samedis, puis l’après midi pour les dimanches. SHEILA voulut offrir un super spectacle dans l’une des plus grandes salles de la capitale avec des décors gigantesques, les meilleurs musiciens, les meilleures choristes et le meilleure producteur. Après les excellents comptes-rendus des médias, elle paiera la cause des « annulations » à la place de tous les artistes qui ont déjà subi le même sort. Il suffira de deux pseudo-journalistes pour balayer le résultat d’un spectacle positif. Le matin même de cette dernière, LE QUOTIDIEN DE PARIS titre Y’a t’il un spectateur dans la salle, le pathétique « flop » de Sheila qui annonce l’insuccès du ZÉNITH au niveau du remplissage. Le journaliste Paul WERMUS va même jusqu’à ironiser, que la qualité du show n’a rien à voir avec. Un autre hebdomadaire LE MEILLEUR titre également Bide monumental au Zénith, Sheila c’est fini ! Le matraquage publicitaire n’a pas payé par Alain AYACHE. Bien évidemment, tout le monde l’attendait au tournant sur la qualité du show et comme la presse écrite salua sa performance, d’autres épluchèrent le nombre de spectateurs. Les mêmes qui depuis le début de sa carrière, lui reprochent d’être souvent aimée, connue, de vendre du disque et de le faire trop bien. Comme la chanteuse se débrouilla parfaitement bien pour chanter et tenir la scène pendant deux heures, deux « médisants-scribouilleurs » ont voulu salir son travail en lâchant une « pseudo-bombe » dans la presse. La palme de ce malheureux scandale reviendra à Paul WERMUS, responsable de la prochaine destinée de SHEILA. La mode voulait que les artistes passent dans de très grandes salles à cette et Jean-Claude CAMUS ayant loué le ZÉNITH pour un an, plaçait ses artistes « maison » afin de rentabiliser la salle. Il refusa les prestations scéniques devant 2.000 personnes au lieu des 6.000 disponibles. Le coût du spectacle, étant très onéreux, au niveau des décors, des musiciens, des danseurs, etc. il fallait le produire pendant un mois. A savoir également : lorsque les gens appelaient le ZÉNITH pour des réservations, on entendait encore la bande annonçant le spectacle de Johnny HALLYDAY qui était largement terminé. En revanche, ces journalistes se sont bien gardés de tenir le même discours, pour ses collègues très connus qui annuleront certaines soirées en prétextant la « cause maladie ». Ils n’ont également pas publié que d’autres remplissaient des demi-salles, etc. Contrairement à ce que les rumeurs raconteront plus tard, il y eut beaucoup moins d’argent de perdu, malgré les locations souhaitées et les 35.000 louées avec une moyenne de 4.000 à 5.000 spectateurs, les vendredis, samedis et dimanches. Jean-Claude CAMUS reconnaîtra même plus tard que tout le métier se battait pour signer cet événement, qui constituait le retour de SHEILA sur scène (elle aurait rempli 3 semaines à l’OLYMPIA, toute le monde se serait chargé d’écrire au succès). Au dernier moment Jean-Claude CAMUS demanda une aide financière dans la production auprès de Claude CARRERE, sinon il arrêtait tout. Alors avant et pendant la durée du spectacle, Claude CARRERE (producteur historique de SHEILA) doubla la campagne d’affichage dans PARIS, en investissant beaucoup d’argent dans le marketing, afin de préserver sa carrière au nom de son passé, pour son présent et son avenir. Il n’a pas voulu le faire dans la production du spectacle dont il était tenu à l’écart. Claude CARRERE a fait son devoir, car SHEILA était son artiste, presque comme son enfant et qu’il se devait de l’aider financièrement, même s’il n’était pas d’accord avec ce spectacle. Lorsqu’il se rendit le jour de la première, des intermédiaires l’empêchèrent de passer dans les coulisses. Il était comme « perdu », de ne pas la voir. Certains artistes interrogés par la presse musicale essaieront de donner un avis. Jean-Jacques GOLDMAN ne comprend pas un tel risque et pense qu’elle aurait pu tenter l’OLYMPIA sur 2 semaines en faisant un triomphe mérité et éventuellement après le ZÉNITH. Sylvie VARTAN salue cette entreprise très courageuse en se demandant si toutefois, la chanteuse était bien entourée pour ce choix. La meilleure critique vient de Françoise HARDY, époustouflée par le spectacle en déclarant qu’il y avait de l’imagination, de la classe, de la sophistication et des idées complètement inattendues sur un fond de très bon goût. Les autres, ceux qui continuent d’exagérer sur les entrées du ZÉNITH sont les mêmes depuis le début de sa carrière. Ces mêmes journalistes lui reprochaient souvent d’être aimée, d’être connue, de vendre du disque et de le faire trop bien. Malheureusement ces articles vont presque effacer des dizaines et dizaines de papiers hyper positifs.
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TOURNÉE ZÉNITH :
ENFIN… SUR SCÈNE !
Tournée de son spectacle avec une première série dans plusieurs villes à travers la FRANCE, ainsi qu’en BELGIQUE et en SUISSE.
Logistique : TRANSPORTS THÉÂTRANS
Récital : Presque identique et suppression de « Love me baby », avec moins de décors devenus une charge trop lourde à transporter et moins de danseurs.
Photos : Bernard MOUILLON, etc.
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11 AVRIL 1985
BORDEAUX (33) PATINOIRE MUNICIPALE
SUD OUEST Allez la voir, c’est réellement beaucoup plus intéressant ; Sheila, une sorte de miracle par Jean-Marc FAUBERT
JOURNAL RÉGIONAL AQUITAINE (Par Hélène ERLINGSEN, Jean-Paul ITEY, Francis COIGNARD et Jacques ROUHAUD) F.R.3 AQUITAINE ; Reportage : « Ce soir le spectacle de Sheila à la Patinoire de Bordeaux ».
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12 AVRIL1985
TOULOUSE (31) PALAIS DES SPORTS
LA DÉPÊCHE DE TOULOUSE 22 ans après, être pour ne pas avoir été.
LE JOURNAL DE TOULOUSE Moi, Sheila par Dominique VIEU et photo de Michel VIALA
ACTUALITÉS RÉGIONALES (F.R.3 LANGUEDOC ROUSSILLON) Interview dans la loge.
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13 AVRIL 1985
FLEURANCE (32) SOUS CHAPITEAU
LA DÉPÊCHE DU MIDI Les Sheilaphiles à Fleurance, Sheila au naturel, sacrée bonne femme ! par Jean-Jacques DARD
Photos : Bernard MOUILLON
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19 AVRIL 1985
SAINT-ÉTIENNE (42) PALAIS DES SPORTS
LOIRE MATIN Sheila au Palais des Sports.
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20 AVRIL 1985
LYON (69) ESPACE DE LA HALLE TONY GARNIER
LA TRIBUNE-LE PROGRÈS Sheila, la p’tite en examen par David MICHAËL
LE PROGRÈS DE LYON SPECTACLES Sheila on t’aime ! Tous les atouts de son côtés, un spectacle qui vous réconcilie avec le show-biz par F.F et photos de Vincent DARGENT
LYON MATIN Un concert intimiste.
RHÔNE-ALPES Sheila du disque à la scène, une lionne dans l’arène.
Photo : Bernard MOUILLON
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21 AVRIL 1985
LAUSANNE (SUISSE) THÉÂTRE DE BEAULIEU
LA TRIBUNE DE GENÈVE Sheila tendresse
SUISSE DIMANCHE Sheila, j’ai pris des paris.
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26 AVRIL 1985
BRUXELLES (BELGIQUE) FOREST NATIONAL
LA LIBRE BELGIQUE Sheila enfin sur scène ! 3.000 Fans l’ont applaudi au Forest National.
LE SOIR Sheila, la vérité qu’on lui ment par Catherine DEGAN
MAGAZINE DERNIÈRE Sheila regrette de ne pas avoir chanté plus tôt sur scène.
ACTUALITÉS (R.T.B.F : RADIO TÉLÉVISION BELGE FRANÇAISE) Interview
Photos : Bernard MOUILLON
AFTER
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27 AVRIL 1985
LILLE (59) PALAIS SAINT-SAUVEUR
NORD ÉCLAIR Sheila est là, elle a gagné.
NORD MATIN Son come back passait par Lille…
Photos : Bernard MOUILLON
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Le Zénith 85 de Sheila est un Spectacle fabuleux,dans sa conception musicale et sa réalisation scénique.
Concert enregistré intégralement en audio,pour un 33T et une K7 audio.Dommage qu’il n’ait pas été intégralement filmés officiellement et qu’il n’y ait pas eu de Vidéo comme sa se fesait a l’époque.MORALES VIRGILE
Merci Steph de nous faire revivre stte fabuleuse épopée de sheila au Zénith!! un concert Geant et superbe, avec sheila en pleine maturitée artistique et physique belle comme tout.
Venir chez toi!!! c’est comme ci on feuilletait l’agenda perso de l’artite un vrai regal. Quel travail que cela represente!!
merci
http://www.sheila-unehistoiredamour.com/sheila-chansons-photos-bio-infos.php?page=2&action=&rubrique_id=300&parent_rubrique_id=
Encore une fois bravo mon cher Ami The Steph!!
Tu vois je viens lire ton blog, c’est une première
je laisse un message!!
A bientôt. Denis.
Bravo pour ce récit! Quand on voit toutes ces personnalités se déplacer à la 1ère du spectacle, on a du mal à imaginer que plus personne n’assiste à ses olympias! Quel changement!
Bonne continuation
Laurence
Merci steph de nous faire revivre tout çà, surtout pour moi qui n’ai pas pu assister à ce spectacle car je venais d’arriver à Dk et que j’étais en pleine déprime à l’époque, je cherchais même un permutant pour repartir sur Paris, je regrette énormément car c’est le seul spectacle que j’ai raté.Pfffffffffff
MERCI CHER STÉPHANE …
GRAND PLAISIR DE REVIVRE CETTE PÉRIODE SPECTACLE 1985..
LE TEMPS A PASSE MAIS RIEN N EST EFFACE DANS NOS CŒURS….
….
Merci Steph’ pour cet article objectif et très complet.
On était jeune(s) , on était fou(s) on y croyait à ce virage de Sheila et on était tous prêt à l’accompagner dans tous ses délires musicaux et scéniques.
Le réveil fùt brutal !
35 ans plus tard que nous reste-il de toutes ces belles espérances ?
En plus du souvenir gravé sur un double vinyle , nous avons surtout le sentiment d’avoir eu la chance d’être présent pour un événement unique qui restera à jamais graver dans nos mémoire et que l’on ne reverra jamais plus …
Merci encore pour ton texte et pour toutes ces jolies photos .